Les coquelicoq ne pousse pas que dans les champs

[Budd Wushu]

La taverne est du genre pénombrée de rigueur pour rencontre non émotionnelle.

L'une d'elle est sur le point de s'achever.
Un cra penaud viens de se lever, il oubli sa sacoche et récupère celle posée à coté de son ancienne interlocutrice qui ne s'en offusque point.
En même temps vu la somme contenu dans la première sacoche elle serait bête de s'opposer à cette erreur de propriété.
Pour être franc la fort sémillante sramette assise est plus intéressé par la forme prise par la somme que par sa valeur véritable...
Quel forme? mais enfin voyons celui du meilleur ami des femmes bien entendu.
...Un claquement brusque et des plus franc retenti.
Elle se tourne vers le bruyant futur consommateur de mauvaise bière tandis que ces effilées gambettes attrapent, attirent sa nouvelle sacoche avec célérité.
Pendant ce temps ces yeux ont observé le nouvel arrivant et son nez se plisse de dégout fasse à la puanteur visuel.
L'arrivant se tient contre la porte, enfin il est plutôt écroulé debout dessus, ce qui prouve une nouvelle fois que les lois de la physique se la joue profil bas fasse aux édit du coma éthylique.
Puis la loque, la sramette ne trouve pas d'autres nom pour définir l'arrivant vu qu'il porte une capuche élimé qui rend sa face ténébreuse d'ailleurs ces qualificatifs vont très bien au reste de sa personne, se glisse de la porte sur les tonneaux se trouvant le long du couloir d'entrée.
Au passage notre cra prépubert criminel stagiaire en profite pour se carapater ou tout du moins tente car il est stoppée par un léger...

LA PORTE!!!

...venant d'un tenancier considérant que la luminosité d'une nuit sans lune pourrait gâcher sa pénombre d'auberge mal famé.
Bien entendu le noob trouve le moyen de s'écraser le pied à sa première tentative mais preuve que son esprit n'est pas en oscillation plate la deuxième tentative est un succès.

La sramette est fasciné par l'arrivant elle ne saurais dire pourquoi mais elle ne peut détacher ses yeux de lui.
La loque s'avance, il vacille comme un navire pris d'un roulis fou sur un lac paisible.
Puis notre égaré du déplacement rectiligne s'échoue sur un tabouret, pose deux trois piécettes et attend sa commande en silence.

Notre observatrice met quelques instant à réaliser que son objet d'étude c'est installé à sa table.
Pour être franc c'est le fait que ses narines est essayée d'attraper le tissu de son masque pour s'étouffer qui lui a mis la puce à l'oreille.
Tout en faisant plusieurs autres constat elle se penche en avant...
"Toi le panda en pèlerinage de la bière à travers le monde tu vas gentiment décarré de ma table."
Il lève juste un doigts, quelques seconde s'écoule et la bière arrive. Il prend le godet, semble en observé avec minutie le contenue puis l'avale cul sec.
Elle entend la mâchoire se crisper sous la première effluve puis le petit éternuement marque qu'on essaye de retenir son estomac d'abandonner son foyer pour cause d'insalubrité.
"Bon d'abord ce n'est pas ainsi que l'on parle à un homme de cyrose, même si j'en suis pas un.
Deuxio, rien que pour cette mixture les lieux mérite de bruler.
Tertio, j'ai l'habitude que les jolie fleures s'exprime avec plus de retenue, à part une princesse nubienne mais bon ça c'est une autre histoire.
Quatro, tu vas arrêter ton petit marché sur le champs et "décarrer" de la zone fissa."
Tout en prononçant cela il c'est levé avec aisance et puissance non refoulé, il c'est avancé et se trouve juste à coté de son interlocutrice.
"Pour être clair tu es pas la première, tout les autres ont quitté la zone, mais seul les plus malin ont été vu quittant la région."
Tout en prononçant cela il a posé sa main gauche sur le dossier de la chaise de son interlocutrice et les trois premier doigts de sa main droite son appuyer en chapiteau sur la table.
Mais elle ne vois que ses yeux, des yeux d'une vivacité de feu et de cendre.
Puis il se redresse et s'en va d'un pas sur, sans hésitation.

De la fumée attire son regard sur la table ou trois point noir de charbon commence a arrêter leurs progressions.
Elle se lève furieuse et pleine de joie elle les a enfin trouvé.
Elle court à la porte et l'ouvre en grand mais son regard guidé par un bruit surprenant s'attarde sur les tonneaux, dessus une chope fermé d'un couvercle métallique
danse la gigue.
"cawotte" proclame t elle dans un langage des plus châtié maintenant que sa couverture n'a plus lieu d'être.
Elle veut s'élancer pour fuir la zone mais elle voit trop tard la cra qui d'un trait parfait lui cloute la botte au sol.
Un second trait lui donne l'impression d'évoluer dans un monde marin.
Elle le voit lui, cette cra avec sa coiffe en croco à son coté et un xelor armée d'un marteau deux fois plus grand que lui, apparaitre sur son autre flanc.
Puis le jaune, puis le blanc, puis le noir, infini.

"On était obligé de raser l'auberge, ils avaient des tabouret pour petit c'est dommage" s'indigne le xelor.

"Oui bas rien que pour le contenu des gobelets moi je l'aurais cramé le tenancier donc disons que tout les autres lopette et pichon qui était dedans sont un bonus, on est déjà pas nombreux alors moi je dis sélection naturel les fort reste les autres font tas de cendre chez le taulier"sentence le panda pyromane.
"Rushu adore les cendres" ne peut s'empêcher de proférer la cra.